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Dédicace spéciale de la BD L'intimité des terres.
Illustration de Jean-Denis Pendaux.lors du 10ème Festival BD Bulles en Hauts de Garonne.
26 & 27 mars 2011 à Lormont.
(cliquez dans l'image)
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Le Printemps est arrivé ! (par Clémence)
Sortez votre short, attrapez votre casquette,
et enfilez vos chaussures de sport !
L’opération bikini a commencé.
Votre magasin de presse va bientôt être envahi de « finis les kilos en trop »,
« menus fraîcheur », « idées minceur », et autres titres de propagande.
La chasse au « jamais assez… » est désormais ouverte.
Mais le phénomène « printemps » ne touche pas qu’une partie de la population
en quête de superflu, car attention à la colonisation…
Les enfants vont conquérir les bois et les parcs :
le moindre espace vert se transformera en terrain de jeux
et aire de pique-nique en famille.
Au revoir à la quiétude et bonjour aux braillements.
Dépliez votre nappe, ouvrez votre parasol,
et débouchez votre meilleur cru !
La cohabitation se révèle difficile entre le joggeur
et cette horde d’envahisseurs, inactifs bronzeurs.
Sportif du dimanche ou sportif confirmé, une fois le coup de pistolet tiré,
c’est le début du parcours du combattant :
zigzaguer un coup à droite un coup à gauche,
prévenez « attention !» si danger il y a,
et prenez votre mal en patience !
Rassurez-vous, le printemps ne dure qu’un temps…
et enfilez vos chaussures de sport !
L’opération bikini a commencé.
Votre magasin de presse va bientôt être envahi de « finis les kilos en trop »,
« menus fraîcheur », « idées minceur », et autres titres de propagande.
La chasse au « jamais assez… » est désormais ouverte.
Mais le phénomène « printemps » ne touche pas qu’une partie de la population
en quête de superflu, car attention à la colonisation…
Les enfants vont conquérir les bois et les parcs :
le moindre espace vert se transformera en terrain de jeux
et aire de pique-nique en famille.
Au revoir à la quiétude et bonjour aux braillements.
Dépliez votre nappe, ouvrez votre parasol,
et débouchez votre meilleur cru !
La cohabitation se révèle difficile entre le joggeur
et cette horde d’envahisseurs, inactifs bronzeurs.
Sportif du dimanche ou sportif confirmé, une fois le coup de pistolet tiré,
c’est le début du parcours du combattant :
zigzaguer un coup à droite un coup à gauche,
prévenez « attention !» si danger il y a,
et prenez votre mal en patience !
Rassurez-vous, le printemps ne dure qu’un temps…
Les "coureurs du dimanche" ! (par MPN)
Un petit paragraphe écrit par un utilisateur curieux
et amusé par les déplacements baroques
et les pérégrinations des homo sapiens à baskets.
Oui, il est tant, c’est même l’heure d’étudier sous une forme académique.
Les différents publics de bipèdes en vitesse de course,
les utilisateurs à 13 kilomètres à l’heure de moyenne
ou pour formuler la problématique autrement :
à l’heure du tout numérique, la notion de « coureur du dimanche
« a-t-elle encore un sens ?
Pour la première fois de ma vie de fouleur de terre battue without raquette,
je suis allé m’entraîner un dimanche matin, vers une heure avant Téléfoot
(respect de l’unité de temps)
ou plutôt soumettre quelques muscles à un contrôle physique.
Mythe ou réalité. Après enquête. Oui, le « coureur du dimanche » existe.
Je l’ai croisé. C’est un descendant direct de l’homo erectus dont les
nombreuses familles peuplent les branches généalogiques de la dépense physique.
Là bas, le dimanche matin ; c’est comme une braderie avec, que des -70%.
Un concentré d’humains en mouvement.
Un inventaire à la Prévert en survêt à capuche.
Tous les niveaux, tous les morphotypes, tous les âges,
tous les moyens de déplacements.
Les groupes de marcheurs nordiques en pré retraire,
les vététistes familiaux en colonne, les spécialistes en « m’as-tu vu »
et les dragouilleurs de fin de semaine.
Et moi, qui croyais naïvement que l’entraînement avait pour but ultime
la participation à une épreuve.
L’atteinte d’un objectif précis. Erreur fatale.
Suis-je bête, je n’avais pas perçu la conjonction de plusieurs phénomènes
comme les fameux « je cours pour maigrir », « je cours pour faire du sport »,
« je cours pour être bien dans mon corps, « je cours pour sortir Junior »…
En moins d’une heure et grâce à un arrêt forcé, j’ai pu appréhender
tous les apôtres du « courir autrement », les identifier et définir
les grandes familles du « dimanche matin » dans le grand tourbillon
de la psycho-sociologie du coureur à pied…
et amusé par les déplacements baroques
et les pérégrinations des homo sapiens à baskets.
Oui, il est tant, c’est même l’heure d’étudier sous une forme académique.
Les différents publics de bipèdes en vitesse de course,
les utilisateurs à 13 kilomètres à l’heure de moyenne
ou pour formuler la problématique autrement :
à l’heure du tout numérique, la notion de « coureur du dimanche
« a-t-elle encore un sens ?
Pour la première fois de ma vie de fouleur de terre battue without raquette,
je suis allé m’entraîner un dimanche matin, vers une heure avant Téléfoot
(respect de l’unité de temps)
ou plutôt soumettre quelques muscles à un contrôle physique.
Mythe ou réalité. Après enquête. Oui, le « coureur du dimanche » existe.
Je l’ai croisé. C’est un descendant direct de l’homo erectus dont les
nombreuses familles peuplent les branches généalogiques de la dépense physique.
Là bas, le dimanche matin ; c’est comme une braderie avec, que des -70%.
Un concentré d’humains en mouvement.
Un inventaire à la Prévert en survêt à capuche.
Tous les niveaux, tous les morphotypes, tous les âges,
tous les moyens de déplacements.
Les groupes de marcheurs nordiques en pré retraire,
les vététistes familiaux en colonne, les spécialistes en « m’as-tu vu »
et les dragouilleurs de fin de semaine.
Et moi, qui croyais naïvement que l’entraînement avait pour but ultime
la participation à une épreuve.
L’atteinte d’un objectif précis. Erreur fatale.
Suis-je bête, je n’avais pas perçu la conjonction de plusieurs phénomènes
comme les fameux « je cours pour maigrir », « je cours pour faire du sport »,
« je cours pour être bien dans mon corps, « je cours pour sortir Junior »…
En moins d’une heure et grâce à un arrêt forcé, j’ai pu appréhender
tous les apôtres du « courir autrement », les identifier et définir
les grandes familles du « dimanche matin » dans le grand tourbillon
de la psycho-sociologie du coureur à pied…
Profiter...(par Denis)
Profiter de ces moments
Avant qu'ils ne partent au loin
De nos rires, nos sourires
En prendre le plus grand soin.
Profiter de ce cadeau du ciel
Tous ces instants partagés
De ce rayon de soleil
Qui vient nous réchauffer.
Profiter du présent
D'être en bonne santé
De courir après le temps
De se sentir flotter.
Profiter des moments paisibles
Où le corps est au repos
De s'évader du pénible
Éloigner tous les maux.
Profiter d'une complicité
Qui fait du bien au cœur
Prendre le temps d'écouter
Ne pas compter ses heures.
Profiter des silences
Qui permettent de penser
Des "S.O.S" qu'on nous lance
Qu'il nous faut rattraper.
Profiter de la vie
Pour ne pas la gâcher
Ce don est trop précieux
Continuons d'avancer...
Avant qu'ils ne partent au loin
De nos rires, nos sourires
En prendre le plus grand soin.
Profiter de ce cadeau du ciel
Tous ces instants partagés
De ce rayon de soleil
Qui vient nous réchauffer.
Profiter du présent
D'être en bonne santé
De courir après le temps
De se sentir flotter.
Profiter des moments paisibles
Où le corps est au repos
De s'évader du pénible
Éloigner tous les maux.
Profiter d'une complicité
Qui fait du bien au cœur
Prendre le temps d'écouter
Ne pas compter ses heures.
Profiter des silences
Qui permettent de penser
Des "S.O.S" qu'on nous lance
Qu'il nous faut rattraper.
Profiter de la vie
Pour ne pas la gâcher
Ce don est trop précieux
Continuons d'avancer...
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